Mac Paris 2010

125 artistes plasticiens rigoureusement sélectionnés et présents sur leur espace personnel, vous rencontrent sans intermédiaire.

du jeudi 25 au dimanche 28 novembre 2010.
Espace Champerret, hall A 6 rue Jean Oestreicher 75017 Paris.

réserver votre billet gratuit.

LES 111 DES ARTS 2010

Du vendredi 26 Novembre au samedi 4 Décembre
Tous les jours de 12H à 20H30
Vernissage le vendredi 26 à partir de 18H
Mairie du 8ème – 3 rue de Lisbonne – Paris

La formule : 1 format unique 20X20cm / 111 artistes = 1.111 oeuvres / 111 euros l’oeuvre encadrée
L’association 111 des arts…. l’idée : l’art au service du soin ou « des images pour adoucir les maux »
Le montant des ventes est reversé pour une partie à l’artiste et de l’autre à la recherche dans le traitement du cancer de l’enfant.

Curieux, amateurs, collectionneurs, adeptes de bonnes oeuvres, à la recherche de cadeaux de Noël… Magali membre art27 vous y attend !

Prix Icart 2010


Appel à candidature dans le cadre du Prix Icart 2010 qui se tiendra le 11 janvier 2011 à l’espace Pierre Cardin.
Le dossier est à rendre avant le 5 décembre 2010.

Yvelyne Wood – « Mémoires en flammes »

La Grande Loge de France prend des risques en exposant les installations poignantes et provocantes d’Yvelyne Wood,
véritable parcours initiatique à travers les barbaries du XXème siècle du 20 novembre 2010 au 15 janvier 2011.

« Parce que l’art n’est pas un geste gratuit, il est un engagement de tout instant » explique l’artiste qui installera cinq œuvres monumentales.
« mémoire en flammes » rassemble 700 livres datant de la 2nde guerre mondiale fixés sur des rails tel un bûcher funéraire,
« l’espace d’un instant » montrent des fleurs sculptées en plomb à taille humaine portant chacune un numéro telles des fantômes d’Auschwitz,
« the last soup » présente cinq mains grises suspendues autour d’une assiette coupées du corps et évoquant le partage dans la nudité,
« Kristnallnacht » est un plaidoyer pour la Liberté et la Paix,
« mémoire vive » reprend le thème du grand livre réalisé à partir de plaques de métal oxydées associé à un dispositif de projection de vidéo.

Même si la Grand Loge de France s’ouvre depuis quelques années à la création contemporaine, c’est la première fois qu’elle ose être « envahie » par les structures d’une artiste tout aussi originale que dérangeante, soutenue par le Pr Donald Kuspit, célèbre pour ses ouvrages de référence sur Boltanski, Anselm Kiefer et Louise Bourgeois, et qui lui consacre un essai « Yvelyne Wood’s Auchwitz ».

Comme un message d’espoir et parallèlement à cette exposition Yvelyne Wood propose au grand public la construction d’une œuvre collective « la Bibliothèque improbable » à partir de textes, messages, écrits…. Parce que les écrits personnels ne sont pas tous passés à la postérité tels le Journal d’Anne Franck, Yvelyne Wood invite le public à lui envoyer ses documents, ceux qui évoquent des souvenirs, rappellent à notre mémoire des situations agréables, douloureuses, joyeuses, uniques… renseignements sur le blog .

Musée de la Grande Loge de France – 8 rue Puteaux – Paris 17ème
Vernissage Samedi 20 novembre de 9h30 à 18h
Dimanche 21 novembre de 9h30 à 18h
20 novembre 2010 – 15 janvier 2011 du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 14h à 17h
Su rendez vous le samedi.

NANCY SPERO – Centre Pompidou

Première rétrospective consacrée à l’œuvre de Nancy Spero en France, l’exposition que présente le Centre Pompidou, réunit une soixantaine d’oeuvres en hommage à l’artiste américaine.
Au CENTRE POMPIDOU, PARIS du 13 OCTOBRE 2010 au 10 JANVIER 2011
Exposition ouverte tous les jours de 11h à 21h, sauf le mardi

Politiquement très engagée, pionnière du mouvement féministe, traduisant sa conscience historique et ses prises de positions dans une oeuvre picturale résolument figurative aux confins du dessin et de la peinture, Nancy Spero (1926-2009) est l’une des grandes figures de l’art américain des cinquante dernières années. Son travail, dont on retient la force autant que la beauté, est imprégné de rage et de violence, mais non dénué d’humour.

Élève de l’Art Institute de Chicago, l’artiste étudie à Paris de 1949 à 1950. Mariée en 1951 avec le peintre Leon Golub, elle revient vivre avec sa famille dans la capitale française de 1959 à 1964. À son retour aux États-Unis, Nancy Spero s’engage contre la Guerre du Vietnam et traduit son horreur dans la série des War Paintings. S’identifiant à Antonin Artaud, à sa rage et sa frustration, elle s’inspire de ses textes dans les Artaud Paintings et plus particulièrement dans les Codex Artaud. À partir des années 1970, Nancy Spero décide de représenter l’humanité sous une apparence exclusivement féminine. Elle forge l’image d’une femme transgressant toute limite d’époque et de culture, une femme à la fois libre et forte, protagoniste et moteur de l’histoire.