« Il avait créé un “langage parallèle” avec lequel il commentait son travail à coups d’aphorismes rageurs. Pendant plus de 40 ans, il s’isola d’un monde qu’il jugeait petit et anti-artistique pour couvrir un coin de la forêt de fontainebleau de ses peintures, sculptures et autres créations architecturales de bric et de broc, mi-BD de SF, mi-animistes. Le week-end, les visiteurs pouvait y admirer ses œuvres… à condition de supporter ses humeurs. Un sacré animal, ce Chomo !
La Halle Saint-Pierre (à Paris) présente son travail jusqu’au 7 mars. Halluciné et hallucinant. »Télérama